France, travaille !
Mais où est la Liberté de prescrire quand il faut satisfaire les injonctions de remplissage des portefeuilles spécifiques, les formations, les plans d’action, les prestations à tout prix au détriment des besoins réels exprimés ?
Mais où est la Liberté de prescrire quand il faut satisfaire les injonctions de remplissage des portefeuilles spécifiques, les formations, les plans d’action, les prestations à tout prix au détriment des besoins réels exprimés ?
Le management s’est considérablement dégradé dans les mêmes proportions. Il est désormais normal de tout faire et défaire en permanence, d’annuler des réunions ou des entretiens prévus, de faire déménager des personnes reçues et assises en réunion pour les faire changer de salle, etc. Les pressions sur les collègues vulnérables, les accusations parfois sans fondement, le favoritisme et le discours qui change selon à qui on s’adresse, sans parler de cas graves passés sous silence dans l’obscurantisme entretenu.
travailler en sous effectifs (donc faire le travail de deux ou trois personnes), génère des retards et des erreurs. Les réformes créées une perte de valeur mais « nous avons un contrat de travail et si cela choque nos valeurs personne ne nous retient ». L’agressivité grimpante, galopante et pourtant si compréhensible des usagers au 3949 et à l’accueil (nous ne connaissons pas notre travail, nous nous moquons de la souffrance des gens, voire nous sommes des « @@&&## » (pour rester correct)),
QVT vous avez dit QVT ? Pour moi on s’en éloigne de plus en plus…
Le Pari par la Confiance pas pour les conseillers, planning forcé, erreurs des autres y compris rep que le conseiller doit régler, absence récurrente de la hiérarchie ailleurs en colloque en réunion, manac à un collègue.